ambroise salin
Introduction

Chirurgien urologue et cancérologue, Andrologue 

Ancien interne des Hôpitaux de Paris 

Ancien Chef de Clinique des Hôpitaux de Paris 

Lauréat de la Faculté 

Texte

Mon parcours

Né à Paris, j’ai effectué mes études de médecine à la Faculté Paris 5 René Descartes. 
J’ai  effectué mes premiers pas dans un service d’urologie à l’Hôpital Cochin chez le Pr Debré en 1998. C’est dans ce service que j’ai fait la connaissance du Dr Almeras sans savoir encore que nous travaillerions ensemble à Toulouse. J’ai effectué mon externat dans les services hospitaliers de l’Hôpital Cochin et de l’Hôpital Saint-Anne. J’y ai partagé certains terrains de stage (et de foot) avec Guillaume Ploussard, mon futur collègue à Toulouse. 
Nommé Interne des Hôpitaux de Paris en Chirurgie en 2003, j’ai débuté l’apprentissage de la chirurgie urologique à la Pitié Salpêtrière sous la supervision des Drs Almeras et Loison. C’est avec eux que j’ai réalisé mes toutes premières interventions chirurgicales urologiques. 
J’ai poursuivi ma spécialité dans les services d‘urologie de l’Hôpital Cochin, de l’Hôpital Henri Mondor et de l’Hôpital Necker mais j’ai aussi choisi de passer mon internat dans d’autres spécialités pour compléter ma formation en chirurgie viscérale, vasculaire, gynécologique et pédiatrique. 
Une fois mon internat terminé, je me suis engagé dans le service de santé des Armées comme Assistant à l’Hôpital d’Instruction des Armées du Val de Grâce à Paris au grade de Capitaine. 
Enfin j’ai finalisé ma formation au titre de chef de clinique dans le service du Pr Mejean à l’Hôpital Necker et à l’Hôpital Européen Georges Pompidou. J’y ai acquis mon autonomie chirurgicale en particulier en pratiquant la chirurgie de transplantation et de cancérologie du rein.
Je me suis installé à Toulouse en 2011, tout d’abord à la Clinique St-Jean Languedoc, puis depuis novembre 2018 à la Clinique Croix du Sud.

Mes expertises 

L’urologie m’a toujours passionné car elle est à la fois médicale et chirurgicale. On dépiste, on diagnostique, on traite par des médicaments, on opère par voie endoscopique et robotique parfois par de larges incisions, on gère les éventuelles séquelles, les éventuelles récidives enfin on pratique nous-mêmes le suivi des patients sans avoir besoin d’externaliser la prise en charge. Cependant l’évolution de la technicité chirurgicale nous pousse à nous surspécialiser et donc à me concentrer sur certaines chirurgies. 
Ainsi je m’investis plus spécifiquement dans la prise en charge du cancer de la prostate, des troubles mictionnels de l’homme, de l’incontinence urinaire (bilan urodynamique) et des descentes d’organes chez la femme et de l’andrologie (maladie de Lapeyronie, dysfonction érectile, implants péniens…). 
Je suis titulaire du DES de chirurgie générale, du DESC d’urologie, du DESC d’andrologie, du DIU d’onco-urologie, du DU de réparation du préjudice corporel, du DIU de chirurgie coelioscopique et d’un master en méthodologie de la recherche clinique. 
Je suis en charge de la gestion administrative, comptable et également des ressources humaines du cabinet Urosud. Je participe à la commission médicale de l’établissement Croix du Sud et au conseil syndical du centre des consultations Croix du Sud.

Travaux et enseignements 

Je me suis toujours investi dans la transmission du savoir aussi bien à la faculté auprès des plus jeunes qu’auprès de mes collègues dans le cadre des formations continues. J’ai eu la chance d’être assistant d’anatomie à l’école de Chirurgie de Paris ce qui m’a permis de former plusieurs générations de jeunes chirurgiens à la pratique de la chirurgie coelioscopique. 
Je participe aux études cliniques menées dans le service et je suis co-auteur de publications scientifiques : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=salin+a.

Ce qui m'anime

Je suis très attaché au rapport de confiance avec mes patients. Les informer, les rassurer et les accompagner est aussi fondamental que l’attention portée au geste chirurgical. Je veux avant tout être médecin avant d’être chirurgien car la maladie ne se traite pas qu’avec le bistouri.